Les premiers Jeux Psychologiques auxquels nous avons assistés se sont déroulés sous nos yeux naïfs de petit enfant. Puis, nous y avons pris part. Avec nos parents, à l’école, au centre de loisirs pendant les vacances ! Heureusement, nous faisons aussi l’expérience de la communication saine et constructive grâce aux adultes qui sont aussi nos modèles dans ce domaine.
Une des rasions principales pour laquelle nous participons à des Jeux Psychologiques est donc liée au fait que nous reproduisions des schémas appris dans notre histoire. Comme nous les connaissons bien, il semble être la solution de facilité par rapport à une communication plus adulte qui demande de la volonté, un certain courage et un savoir-faire pour trouver les mots.
Et voilà comment nous pourrions nous retrouver à activer, par exemple, le rôle de Victime (se plaindre) au lieu d’exprimer positivement une difficulté et poursuivre avec une demande raisonnable.
D’autre fois, nous pourrions nous sentir obliger de voler au secours des autres (rôle de Sauveur), poussé par un sentiment de culpabilité. Et que dire de ces fois où nous nous montrons agressifs (rôle de Persécuteur) parce que nous n’arrivons pas à nous faire comprendre ?
Au-delà de cette raison, il existe d’autres motivations à jouer à des Jeux Psychologiques. L’épisode 2 de la série « À quoi tu joues ? » vous les révèle !